Je travaille depuis quelque temps à une nouvelle série de pièces pour alto, clarinette et piano inspirées par des poèmes de Marguerite Yourcenar (tirés des Charités d'Alcippe). Voici les vers qui ont servi de point de départ à la troisième pièce (sept sont prévues au total):
Comme un doux oiseleur, la mort étend ses rets
Il ne restera plus que l'ombre du cyprès,
Où dormiront bientôt l'époux et l'épousée